Le dimanche 7 septembre 2025, le district de Strasbourg s’est rassemblé autour de son responsable, le berger Christian Karcher, pour le service divin de rentrée. La parole du jour était tirée de l’Évangile selon Matthieu, chapitre 6, verset 9 :« Voici comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié. »

Ce service nous permet de prendre un nouveau départ, après avoir fait le bilan des trois quarts de l’année écoulée et nous être interrogés sur l’état de notre foi. Plusieurs temps forts  ont marqué cette période.

Concernant la devise de l’année 2025 : « Il est temps de faire le bien. » L’avons-nous pratiquée au quotidien ? Reste-t-elle une véritable impulsion pour nous ?

À Bruxelles, l’apôtre-patriarche a donné pour parole : « Avec le Seigneur, persévérez dans l’épreuve. » Dieu, en envoyant son Fils, s’est approché des hommes. Jésus a résisté à toutes les tentations et, par son sacrifice, a permis aux hommes de trouver le salut dans la proximité avec Dieu.

À la Pentecôte, la parole a mis en lumière : « Le Saint-Esprit dit la vérité sur nous, sur notre prochain, sur l’Église, sur l’avenir. »  Nous pouvons nous y fier et lui accorder toute notre confiance.

Concernant le développement de la parole, il a été rappelé que les disciples avaient une vie de prière. Mais en observant Jésus, ils ont compris qu’il fallait prier autrement. Ils lui ont demandé :  « Seigneur, apprends-nous à prier. » On pourrait se demander pourquoi prier, puisque Dieu sait tout. En réalité, la prière n’est pas seulement une succession de mots ou une attitude, elle est un élan de l’âme qui s’élève vers Dieu.

Le « Notre Père » est une prière collégiale dans la communion des fidèles. À travers elle, nous tutoyons Dieu, exprimons et confessons : « Je suis ton enfant. »

Forts de ces conseils, nous pouvons repartir pour une rentrée sereine et enthousiaste.